Nom : Celui de l'homme qui l'a recueillie, qui l'a élevée et nourrie durant toutes ces années. Celui de cet homme qui lui a donné la chance de pouvoir vivre, mais de l'emprisonner en même temps. Celui de MacFarlane. ≡ Prénom : Une mélodie courte et douce qui résonne à merveille aux oreilles de ceux qui peuvent l'entendre. L'apparence angélique d'une personne beaucoup plus sombre et redoutable qu'elle ne voudrait l'être, Angie. ≡ Votre conte : Cette histoire à la fois belle, tragique, romantique, monstrueuse et rêveuse qu'est celle du Bossu de Notre Dame. ≡ Âge : Voilà près de 24 années qu'Angie a poussé son premier souffle et son premier cri en ce bas monde. ≡ date et lieu de naissance : Son père d'adoption lui a toujours soutenu qu'elle était originaire d'Aberdeen. Est-ce vrai, est-ce faux? Elle ne le sait absolument pas, mais elle se contente de le croire et de le penser. ≡ vos origines : Écossaise, sans le moindre doute possible. ≡ Métier : Officiellement sans emploi, elle obéit et répond principalement aux diverses exigences de son 'père', ces dernières étant majoritairement répréhensibles par la loi. ≡ Orientation sexuelle : Sa fascination et ses préférences se sont toujours tournées au profit des femmes. ≡ Statut matrimonial : Vierge et célibataire, il ne lui est permis aucune aventure, aucune rencontre, aucune follatrie de quelconque nature. ≡ côté financier : Sur un plan familial, on peut considérer qu'Angie fait partie des personnes aisées et privilégiées, toutefois, aucune partie de cette fortune ne lui est accordé. Ainsi, derrière les apparences, elle demeure plus pauvre qu'il n'est possible de l'être. Caractère : Rêveuse - Soumise à son père - Secrète - Renfermée - Timide (en dehors de ses 'boulots') - Torturée - Possède un bon fond qu'elle a du mal à montrer - Intrépide - Aventureuse - Drôle - Romantique - Loyale - Ne supporte pas les injustices - Naïve  ≡ les crédits : Liloo_59 (avatar) & Tumblr (gifs)

un peu plus sur toielle souffre de l'enfermement de sa vie actuelle, ne supportant pas l'emprisonnement au sein de cette cage dorée. Néanmoins, elle réprime volontairement ses envies de liberté par loyauté envers celui qu'elle considère comme son père, et à qui elle doit tant. ≡ voler, intimider, agresser, aller jusqu'à tuer... Telles sont des choses qu'elle réprouve totalement mais qu'elle accepte de faire et d'en fermer les yeux par cette même allégeance envers son père. C'est, selon elle, le seul moyen qu'elle a de pouvoir le remercier pour tout ce qu'il a fait pour elle. ≡ elle retranscrit l'étendue de ses rêves et de ses fantasmes dans un petit carnet qu'elle conserve précieusement caché aux yeux de tous. Il lui arrive également de transformer ce qu'elle écrit en chanson, aimant chanter et possédant une assez jolie voix en la matière. ≡ parler, lire, écrire, compter, l'histoire, les sciences... Elle n'a pas été scolarisée dans une école, mais auprès de son père et d'un professeur particulier qui se chargeait de veiller à son éducation et son développement intellectuel. ≡ elle a été tellement mise en garde sur les gens qu'elle ne se mêle presque jamais à la foule lorsqu'elle sort de chez elle. La notion d'amitié et de confidents est quelque chose qu'elle ne connaît que très peu pour le moment, bien que cela fasse partie des choses qu'elle rêve de découvrir et de connaître. ≡ équilibriste ou funambule, libre à vous de la cataloguer comme vous le désirez en la matière! Ce qui est certain, c'est que c'est une véritable acrobate qui se sent bien souvent plus à l'aise en se déplaçant de toit en toit que sur le plancher même des vaches. ≡ elle perd tout discernement et se montre redoutable et violente à souhait dès lors que l'on tente de s'en prendre à son père. Aussi imparfait puisse-t-il être, personne n'a l'autorisation de toucher au 'saint homme' qu'il représente à ses yeux. ≡ pouvant être considérée comme une conséquence de sa timidité, Angie a tendance à bégayer et à buter sur les mots dès lors qu'elle parle avec des inconnus. ≡ en dehors de ses rêveries et de ses vagabondages, son passe-temps préféré et principal est la réalisation de peinture en tout genre. L'ensemble des tableaux et cadres ornant les murs de la demeure de son père sont d'ailleurs de sa propre création. ≡ elle ne se formalise pas avec la mode, féminine ou non, et arbore généralement des tenues amples et recouvrant l'ensemble de son corps. Le fait est qu'elle tient à conserver secret les marques, les bleus, les ecchymoses et les cicatrices qui recouvrent son corps, suite aux brutalités de son 'père'. ≡ c'est une femme pieuse et qui a été élevée, qui a grandie dans la crainte de Dieu. Ainsi ne manque-t-elle aucune office et va se confesser aussi régulièrement que possible.
   
que représentent les contes de fées pour votre personnage ? ≡ Les contes de fées ? Voilà bien une lecture qui m’est interdite, bien que ce soit un interdit que je ne cesse de transgresser. Histoires fantasques, fables imaginaires, inventions aux finalités radieuses, belles, merveilleuses, les contes me permettent de conserver précieusement cette part de rêve qui bat dans mon cœur. Envieuse de ces récits, envieuse de leurs aventures, envieuse de cette liberté dont ils jouissent malgré les épreuves. Envieuse de leur fin heureuse… Pourrais-je seulement en connaître une digne des plus beaux contes qui garnissent ce monde ? Si seulement… En attendant, je ne peux m’y accrocher que comme le plus précieux et le plus merveilleux de tous les rêves, de tous les espoirs. Peut-être qu’un jour, rien qu’un jour, je pourrais connaître le plaisir et la fantaisie enfermée dans l’ensemble de ces récits…
   
derrière l'écran

ton pseudo : Bat-Soul ≡ âge : 28 ans ≡ pays : Belgique ≡ fréquence de connexion : 5/7 ≡ comment t'es arrivé ici? : via PRD ≡ un commentaire? : J'A-DO-RE

« Pardonnez-moi mon père, parce que j’ai pêché. » Comme chaque jour, je m’étais rendue à l’office pour expier ce que l’on appelait des crimes, des pêchés. Comme chaque jour, je répondais au devoir de la confession pour alléger mon cœur et soulager mon âme des devoirs qu’il m’incombait. Car, oui, mes devoirs étaient nombreux. Mes devoirs étaient une réalité. Mais cette réalité, je ne pouvais en parler, ni même l’avouer, si ce n’est auprès d’un homme dont le secret de la confession me garderait toujours dans une certaine position d’innocence. L’innocence auprès des Hommes ? Cela m’importait peu. L’innocence auprès des yeux, ça, en revanche, avait une réelle importance. Ce ne sont pas les Hommes qui sauveront un jour mon âme. Ce ne sont pas eux qui me jugeront lorsque j’arriverai face au purgatoire. Et ce ne sont pas eux également qui détermineront si j’ai mérité ma place dans les cieux ou une errance éternelle dans les abysses de l’Enfer. Tout être en ce bas monde se doit de se laver de ses pêchés. Certains plus que d’autres. Et sans m’en vanter, je pense pouvoir dire sans mal que je faisais partie de ces ‘certains’. Silencieusement, religieusement, j’entends le prêtre m’écouter alors. Je ne suis pas fière de mes propos. Ma tête baissée, mon visage encapuchonnée, je ne veux pas qu’il puisse me voir d’une quelconque manière. Je ne veux pas laisser apparaître mon visage coupable sous le regard du Seigneur. Je ne veux pas que l’on identifie cette capuche, cette ombre coupable. Je ne veux pas que l’on associe mes actes à mon visage. Tel ce masque invisible que je revêts pour être cette personne que l’on attend de moi. Qu’il attend de moi. Que mon père exige. « J’ai conscience de ne pouvoir jouer le rôle de Dieu, mais je me devais de prendre sa vie. Il était dangereux. Il était indigne de la grâce de notre seigneur. Et il ne m’a pas laissé le choix. Pardonnez-moi mon père. Pardonnez-moi de m’être octroyée un pouvoir divin, mais cet individu ne pouvait être puni par la Justice des Hommes. » Et, si je garde cet avoeu silencieux pour sa part, je ne pouvais me soustraire à l’ordre qu’il m’avait été intimé. Ce regard empli de pitié. Cette voix suppliante. Ce sang chaud, rougeoyant, s’était répandu tel un torrent sur mes mains et le rebord de mes manches. Ma lame s’était imprégnée du liquide écarlate, résonnant implicitement alors de son efficacité mortelle. Un coup de lame de plus. Une victime de plus. Pourquoi la Justice de mon père devait-elle être aussi absolue ? Ou, plutôt, pourquoi les Hommes le forçaient à se montrer aussi violent, macabre et absolu dans ses décisions ?

Mon père n’était pas un monstre. Mon père n’était pas mauvais. Je sais pertinemment qu’il est critiqué, qu’il n’est pas toujours apprécié à sa juste valeur. Mais, moi, je suis également la seule à réellement le connaître, à savoir réellement l’homme qu’il était dans le fond. Une apparence glaciale, froide, rigide et incorruptible. L’image d’un être vous faisant plus que froid dans le dos. Un homme dont le simple regard suffisait à vous clouer sur place et à vous faire baisser le regard. Non, il n’est pas homme à être défié. Il est un homme à respecter. Rien que son aura ne m’inspire que le plus grand de tous les respects à son égard… Mais je lui dois tellement plus. À vous qui le penser ou l’imaginer sans cœur, sachez qu’il est le seul à m’avoir recueillie alors que je n’étais qu’un petit bébé de quelques mois. Sachez qu’il m’a adopté, qu’il m’a nourri. Sachez qu’il a veillé à me vêtir et à m’assurer une éducation loin de ce monde, loin de la méchanceté, de la mécréance et de la violence. Il ne voulait pas m’exposer aux révoltes, aux sournoiseries, aux châtiments et à la maltraitance que les autres enfants, que les autres adolescents ou que les inconnus même puissent vous réserver au simple détour d’une rue. La seule violence qui a toujours résonné et résonne encore aujourd’hui, c’est celle de ses corrections et de mes punitions. Je ne peux l’en blâmer. Il veut me façonner d’une manière parfaite. Il est un homme exemplaire dans notre société. Je ne peux que comprendre et accepter qu’il se montre aussi violent et aussi dur afin de me corriger. Une erreur n’est pas une option en ce qui me concerne. Je ne suis pas femme à avoir droit aux échecs. Je ne suis pas femme à avoir l’autorisation de décevoir mon tuteur. Je ne suis pas non plus femme à avoir le choix. La liberté, telle que je la rêve et l’idéalise, n’est qu’une lente corruption vers le Mal. Après tout, comme ne cesse de le répéter mon père, tout individu se veut innocent jusqu’au moment où il finira inévitablement par devenir coupable. Car la culpabilité coule dans nos veines. Car la culpabilité empoisonne nos pensées, nos cœurs, nos âmes. Car la culpabilité doit être purgée pour ne plus nous souiller. Et quelque part, telle est la purge qu’il m’impose lorsque les coups pleuvent et s’abattent sur moi. Il me sauve en me punissant. Il assure ma rédemption tout en me châtiant. Il n’est pas un monstre. Juste mon père, mon maître.

Et puis, en quoi pourrais-je me fier à ce monde ? En quoi pourrais-je accorder plus de crédit à un univers inconnu au lieu de celui avec qui je partage docilement ma vie depuis tant d’années ? Ce monde n’a rien fait pour moi. Ce monde ne m’a jamais rien apporté. Si ce n’est l’abandon de mes parents. Le vice d’adolescents. L’agression d’obscures âmes errantes. Le jugement d’une apparence offerte par mon ‘sang’ sans même s’attarder sur ma personne, sur ce que et qui je peux être. Non, ce monde ne m’a rien apporte, et je ne lui dois rien. Je ne lui dois que cette curiosité inextricable, inexplicable et insensée qu’il m’inspire malgré le tableau violemment repoussant que l’on m’en présente, que cela en soit par mes yeux ou ceux de mon père. Je ne lui dois que cette sensation de liberté qu’il fait naître en moi, au même titre que cette crainte insolente, tous deux issus de cet inconnu qu’il représente encore aujourd’hui à mes yeux. Connaître sans connaître. Savoir sans savoir. Observer sans voir. Analyser sans comprendre. Au final, je ne suis peut-être pas faite pour faire partie de ces grands-penseurs, de ces grands sages et savants qui comprennent tout de ce qui les entoure. Car, en y réfléchissant bien, je n’ai été élevée et éduquée que dans un seul et unique but : servir mon père, servir mon maître. Être la marionnette du marionnettiste. Demeurer le bras armé de la tête pensante. Nul autre que le chien docile accordant toute sa loyauté et sa fidélité à son maître sans la moindre discussion. Obéir aux ordres. Faire ce qui est ‘juste’ et nécessaire. Agir sans poser de question. Me lancer aveuglément là où il m’est exigé d’aller. Je ne le pleure pas. Je ne m’en plains pas. Le paradoxe de mon cœur éprit d’une autre vie se retrouve confronter au réalisme de mon esprit et de ma réflexion. Il n’est pas question de révolte ou de rébellion envers l’être à qui j’appartiens, simplement d’imperfection que ses coups et sa sévérité parviendront peut-être à corriger un jour. Il est mon unique point de repère. Mon unique tout. Mon phare dans la brume. La seule personne en qui je puisse avoir foi et confiance. Il est, à sa manière, l’unique qui ne m’a jamais trahi, blessé ou abandonné. Et en ce jour de confession, Seigneur, si nous avons fauté, alors pardonne-lui, pardonne-moi, pardonne-nous. Nous n’avons que comme but de rendre ce monde bon, bien et meilleur qu’il ne l’est aujourd’hui. Et si de ton royaume, tu veux condamner ces Hommes pour leur mal, alors condamne moi à leur place. Car les coupables qui seront face à ta justice seront ceux pour qui je n’ai rien su faire, pour qui je n’aurais pas su intervenir. Pour qui mon père ne m’aura rien demandé. Pour qui ma vigilance n’aura pas été assez grande. Le monde est coupable de bien des atrocités, mais il possédera toujours ta clémence. Alors j’implore ta clémence pour cette terre mais, par-dessus tout, pour mon père. Pour cet homme qui a accepté d’endosser le visage du Diable pour faire dignement honneur à ton office divine.

J'étais plus que curieuse de voir comment tu transposerais le personnage vers un avatar comme celui-ci, et j'avoue ne pas être déçue du tout . Car ce n'était pas chose aisé de prendre Quasimodo et d'en faire une toute jolie. Du coup, l'idée de la religion, des coups portés par son père. Tout ça promet une évolution intéressante en rp  .

Je me permets juste : tu dis qu'elle couvre son corps de choses informes, mais au vu de l'avatar que tu as choisi, ça entre un peu en contradiction

Pour débuter ta vie dans le forum, il ne faut pas oublier de remplir correctement ton profil. C'est très important de venir voir le bottin si votre avatar s'y trouve, le staff n'est pas parfait. Il faut en profiter pour jeter un coup d'oeil au reste des demandes et pense à lire correctement les annexes parce que nos bêtes ne sont pas comme dans les films et différent de ce qu'on voit en ce moment à la télévision.

Maintenant que tu as fait toutes ces étapes ennuyeuses, nous t'invitons à te créer ta fiche de lien et à la compléter le plus vite possible. Il y a une fiche de lien à votre disposition, pour suivre les couleurs du forum et pour vos fiche tentez de ne pas déformer le forum avec vos fiche, c'est un maximum de 430px. Juste un petit rappel pour les posts rp, si vous mettez des cadre et tout, veuillez à ce que cela ne dépasse pas 430px en largeur, pour ne pas déformer le forum. merci. Une fiche a été construit pour vous ici : fiche pour les posts rp . Et surtout. Have fun.